Chapitre 1

 

La nouvelle addiction 

 

 

 

 

Le rôle d’oméga consistait essentiellement à concevoir et transporter la descendance de l’alpha selon les esprits archaïques. Fils d'une mère oméga,  Lauren Bane rencontra son amant alpha, le descendant d’un riche lignage alpha et oméga… Si ce n’était pas son ascendance le souci du diplomate idrissien,  le fait de grandir parmi la classe moyenne indiquait clairement un critère inadéquat au partenaire de l’héritier de la respectable lignée d’alpha des Lightwood. Il a épousé un homme brun aux grands yeux noisette,  un corps sculpté de grande taille. Il était protecteur,  loyal et dévoué envers sa famille.  C’est-à-dire ceux qu’ils considèrent une extension de leur foyer peu conventionnel. Si nous revenons aux ancêtres respectifs,  créatures obscures et nephilim n'ont pas toujours entendu les meilleures  relations,  mais la création des premiers accords et nouveaux accords réparent la brèche entre lespeuples. 

 

Sa mère tomba enceinte de l'homme qui l’abandonna sans se soucier de regarder en arrière,  elle fut une aventure de plus pour celui-ci ; une belle femme eurasienne moitié-indonésienne et moitié-néerlandaise avec des origines idrissiennes. Est-elle seulement une métisse ? Eh bien,  elle possédait des talents artistiques qu'elle lui a transmit.  Il tenait énormément de la professeur d’art, ancien mannequin connu quand elle a fréquentée le géniteur. Ce fameux homme revint par hasard en prétextant un achat à sa boutique de Manhattan,  tout ça pour lui annoncer être l'amant misérable qui a laissé sa mère se débrouillait seule. Elle a essayée de lui donner un cadre de vie avec un beau-père se révélant alcoolique et consommateur de drogue parfois violent. Heureusement ce triste chapitre se termina par l’emprisonnement en prise de haute sécurité. C'est la démarche du brun qui le fait percevoir la possibilité de bâtir une liaison sérieuse en partageant cœur,  corps et âme. 

 

Il aimait réellement le compétent pédiatre qui prend en considération le suivi personnel de ses patients,  il a encouragé  sa vocation dans la voie médicale. Magnus a poursuivi une carrière artistique,  soit la création de vêtements et accessoires,  la prédication de conseil pour embellir l'image de soi et habiller une clientèle sensible à la qualité des tenues dessinés sur son bloc note ! La belle-sœur, Isabelle Lewis née Lightwood apparaît une très bonne amie et associée en ce qui concerne la gestion de leurs boutiques.  Deux stylistes qui ont accrochés à la mention du mot « mode » et « bon goût ». Ne pas penser à la douleur,  ne pas penser à la douleur se répétait-il. Qui a dit qu’accoucher est une partie de plaisir ? Les quelques mondaines minimisant la douleur, la fatigue et la perte de la maîtrise de soi en parole. C'était la quatrième grossesse,  quatrième enfant naît d'une intense période de chaleur et de rut synchronisé. Il se demandait si un alpha accouplé devinait l’arrivée du cycle de chaleur de l’oméga ? Inversement en mentionnant le rut. Peu importe cette petite fille frappé dure à l’intérieur de lui,  une vrai Lightwood ! 

 

 

« J'ai si mal Alexander,  notre fille donne de sacré coup…OW OW OW. » Dit le métis  en serrant la main droite d'Alexander et gauche de Maryse,  pousser,  pousser le bébé pensait-il. 

 

« Je suis fier de toi mon amour,  tu accomplis un miracle.  Je t’aime tellement. » Murmure t-il en apaisant les cris entre les contractions,  il ressentait l’anxiété du designer à travers la marque d’accouplement. Il était le pilier de tout les accouchement de Magnus,  il le resterait longtemps comme son mari,  amant et compagnon de vie. 

 

« Je t'aime aussi Alexand… OW OW OW OW TU NE ME TOUCHERAS PLUS ALEXANDER. GIDEON LIGTHWOOD ! » Dit Magnus en lâchant finalement la douleur d'enfanter. 

 

« Tu es si belle Magnus. » Murmure encore le brun en gloussant de la réaction,  il a entendu pire trois grossesses plutôt. 

 

« C'est bientôt terminer Magnus,  inspire et expire entre tes contractions. » Dit la belle-mère en comprenant la phase l’enfantement,  elle reconnait la tâche éprouvante,  mais heureuse à la fin. 

 

« Je juge que c'est le dernier enfant que nous aurons,  si tu souhaite une extension nous adoptons… OW OW OW JE TE DETESTE TOI ET TON SPERME FERTILE ! » crie t-il en entendant rire amusé de Catarina,  la phrase a probablement atteint les oreilles des amis en salle d'attente. 

 

« Je connais bébé,  je t'aime. » Dit-il en riant intérieurement de la scène familière,  ils auraient quatre enfants ainsi,  sa semence imprègne le sexe secondaire de Magnus aisément,  son paradis privé ! Favoriser un enfant serait une option intéressante,  il le maintient dans un coin pour une discussion éventuelle. 

 

« Très bien encore trois grosses poussées,  tu rassemble tout ton énergie sur la dernière. Tu es prêts ? » Demande l’infirmière confirmée en partageant la souffrance de Magnus,  elle-même a poussé deux et adopté une fille de dix huit ans récent.   

 

« Encore un effort mon amour,  tu peux le faire hatiku. » Dit le brun en caressant ses cheveux noirs humides,  il émanait de forte phéromones de naissance autour de lui.  

 

« Je suis épuisé chéri… »  Murmure l'eurasien en ressentant la fatigue parcourir les fibres du corps entier,  si épuisant d’expulser une addiction impatiente. 

 

« Tu peux mon Magnus,  serre ma main fort.  Je t’accompagne tout le long. » Murmure le brun d'un ton apaisant et encourageant en même temps. 

 

L'homme est une source de motivation constante à se surpasser en tant qu'individu conscient de la chance d'embrasser ses lèvres, lui faire ardemment l’amour et beaucoup plus que les mots peuvent traduire. 

 

« Pense au nouveau-né que tu tiendra,  elle vaut le coup ma chérie. Concentre ton énergie et libère là. » Dit Maryse en se sentant honorer que le beau-fils accepte sa présence à l’accouchement. Ça signifie un nouveau départ ainsi que la découverte de sa seconde petite du couple Lightwood. 

 

« Je peux le faire,  je peux le faire… AH AH AH AHHHHH. » Hurle le métis en ignorant la douleur intense jusqu’à le retentissement du bébé, le soulagement traverse ses membres. Il sourit à la vue d'Alexander couper le cordon ombilical et bercer l’addition dans ses bras protecteurs. Les douces paroles du père alpha apaise les pleurs.  

 

« Elle est comment chéri ? Montre la moi. » Dit-il en clignant ses yeux marrons foncés en amande rappelant le brun chocolat qu'adore le plus grand homme. 

 

« Elle est magnifique, bonjour ma jolie maman et papa t'aimons très fort. » Dit-il en laissant coulé les larmes de joie malgré la fatigue,  contempler ton bébé vaut ces cinq heures de travail. 

 

« Bienvenue mon petit ange,  je vais t'aimer et te protéger.  Je suis ton papa. » Dit le médecin en souriant tendrement,  la pure fierté de tenir sa fille. Elle ressemblait à sa maman, une touffe de cheveu brun très foncé,  le teint mate léger et ces yeux, elle a une saisissante nuance émeraude profonde. 

 

« Ces pupilles sont incroyables d’où viennent-elles ? » Demande l'amie proche de Magnus,  elle remarquait le métissage eurasien prononcé chez elle. 

 

« L’ancêtre de ton père, Gabriel Lightwood avait une paire émeraude similaire,  je suppose qu'elle est dépositaire. Je constate un mélange,  le brun presque noir et le teint léger mate. » Dit Maryse. 

 

« Les traits eurasiens appartiennent à mon côté,  ma mère serait si heureuse aujourd’hui. Je suis content qu'on est pas une guerre sur les bras. » Dit Magnus en faisant une remarque spirituelle,  assez bonne pour sa satisfaction personnelle. 

 

« Nous évitons un essaim de tracas,  comment allons-nous l'appeler ? » Demande l’infirmière en ayant effectué les examens prénataux dix minutes après sa naissance.  

 

Il oublia l’accumulation de fatigue en songeant au prénom,  un ensemble significatif suivant la tradition familiale ; chez eux on nommait un enfant après une personne importante. 

 

« Tu choisis tercinda, j'ai choisi pour nos garçons. » Dit Alec. 

 

« Raya Lauren Lightwood en hommage à son arrière grand-mère et grand-mère maternelle. Qu'en dites-vous ? » Demande à tout le monde présent. 

 

« C'est parfait ma chérie,  puis-je embrasser ma petite-fille ? » Demande poliment la grand-mère. 

 

« Bien-sûr Maryse,  merci de m'avoir soutenu à la place de ma mère. Elle aurait voulu me tenir la main. » Dit Magnus d'une voix reconnaissante,  elle a fait ses preuves de repentances. Il a notait le changement progressif au fur et à mesure. C'est l'une des raisons pour lesquels sa nièce Sophia à le prénom de sa grand-mère en seconde patronyme.  

 

« C’est moi qui te doit Magnus,  je t'ai jugé sur tes origines,  ton statut alors que tu es plus que ça. Tu rends mon fils heureux,  lui a donné de beaux enfants et moi des petits-enfants. »  Réalise la brune en songeant au comportement antérieur,  elle a faillit perdre ses enfants à cause de vieux préjugés. 

 

« Je suis heureux de l’entendre,  dommage que Robert songe autrement. Il a perdu une femme en or, je reconnais un bon cœur quand je le vois.  Tu devais l’écouter Maryse. » Dit Magnus en baillant un peu.

 

« Comme vous dites les temps ont changés ; alpha,  bêta,  oméga ou mondain nous sommes égaux. » Dit l'alpha en appréciant l’état d'esprit de Maryse, plus en concordance à la société moderne. 

 

« Je veux épargner un grand-père désobligeant à notre fille Alexander, elle a une grand-mère et grand-tante, toute une famille qui l'aimera pour ce qu'elle est.  Ma jolie Raya aura un endroit sain. » Dit Magnus en éprouvant un attachement maternelle au nouveau-né,  il ne désirait pas d’influence néfaste près d’elle. 

 

« Je protège ma famille, elle saura bien. Tu devrais te reposer. » Dit Alec en notant le discret bâillement,  rien lui échappe lorsque nous touchons à ses proches. 

 

« Nous rentrons chez nous ensuite,  tu me promets mon chéri ? » Dit Magnus en défiant d'une mine tendre l'autre de le faire passer une nuit à l’intérieur d'une chambre d’hôpital. 

 

« Je le ferai à condition de suivre mes instructions,  pas d’argument si le médecin parle. » Défi le brun en connaissant le sujet,  il détestait les chambres du centre hospitalier qu'il perçoit épuré,  neutre et terne. 

 

Son mari a pratiquement décorer les pièces de la maison, sauf la cuisine laissé à ses soins. Il a tenu à conserver une fonction pratique et accessible. La concession et le compromis font partie des joies du mariage,  disons que l’oméga a adapté le concept sous forme de négociation quotidienne. S'il y a une décision à  discuter au sujet de la maison ou des enfants,  ils débattent de façon a inclure un parti équitable. Grace à ce rituel  sciant au couple,  le médecin se découvre habile à tirer le meilleur intérêt de ses patients et le sien si un collègue vient lui demander un échange de garde.  

 

 

« Tu prends trois semaines de ton quota,  je connais mon mari. » Dit Magnus en omettant exprès la suite, cela titille souvent le plus grand. 

 

« Que veux-tu dire ? » Dit-il en niant l’insinuation de Magnus,  pas complètement au fond de lui. 

 

« Combien de garde de nuit as-tu assumé en remplacement ? Je peux affirmer un nombre conséquent,  cela te permet de prendre un congé parental rallongé de trois semaines supplémentaires.  Si nous comptons un mois et demi que tu as négligé mon chéri. » Dit l’époux d'une voix taquine,  l'avocate et l’infirmière retint leur rire. Toutes deux savent le niveau d’implication du docteur auprès des patients. 

 

« Magnus ! » Dit calmement le médecin en soupçonnant les congés non prit par conscience professionnelle,  Benjamin Rosewain le targua de les prendre. Il était têtu tandis que sa moitié maligne et persuasive.  

 

« Je suis généreux,  tu peux prendre beaucoup plus ceci dit,  te priver de tes patients trop longtemps te manquera donc un mois et demi de repos. Pas d'appel en pleine nuit,  ni d'urgence impromptu par manque de personnel. Tu concède ce laps de temps,  en contrepartie je me plie à tes instructions ; repos correct,  repas sain, hydratation saine,  activité physique et réduction du travail jusqu’au premier mois de Raya. Est-ce raisonnable ? » Négocie Magnus. 

 

« Qui va me remplacer ce temps-ci ? » Demande Alec par curiosité, l’oméga sait attiser son intérêt. 

 

« Benjamin te doit quelques échanges de garde ? Je suis sûr qu'il fera plaisir à un ami n'est-ce pas Cat ? » Dit-il en s'adressant à son amie. 

 

« J'ai soumis la suggestion de privilégier un rapprochement propice avec nos enfants à Ragnor,  il a adoré celle-ci. » Dit-elle en omettant qu'elle usa de persuasion,  entre autre moyen infaillible d'obtenir la coopération de l'obstétricien. 

 

« C'est une occasion de te reposer Alec,  Lukas me parla de vouloir s'exercer au tir à l'arc et Max au football. » Dit Maryse en apportant du poids à la négociation. 

 

« Alexander ? Est-ce acceptable ? » Réitère la voix suave de Magnus. 

 

« Bien, je vais m'assurer que tu fasses ces termes notamment l'exercice physique, entendons-nous Magnus Lightwood ? » Dit Alec en comptant faire l'amour assez souvent en dehors de l’éducation de la fratrie et le soin de Raya. Passer du temps près de ses petits ? Il consacrait un temps précieux aux instants de partage familiaux : déjeuner,  diner,  activité en famille à l’intérieur ou l’extérieur etc. Sa famille comptait trop pour les négliger ! 

 

« Parfaitement Alexander Gideon Lightwood,  je tiens ma parole et tu tien la tienne d'accord ? » Dit Magnus en capturant les lèvres souriantes du brun,  il rendit le baiser. 

 

« D'accord hatiku,  tu rattrape un sommeil décent avant notre retour. Je m'occupe de Raya,  nous t'aimons. » Dit-il en embrassant longuement son amant fermant les yeux,  il sourit au visage endormie. 

 

« Allons rencontrer tes oncles et tantes Raya. » Dit le nephilim en amenant leur fille aux amis, il entendait déjà deux femmes excitées. 

 

Il avance tranquillement en direction de la salle d'attente, il percevait une dominance oméga en réfléchissant au récent événement,  leur nouvel ajout respirait la bonne santé doté d'un adorable minois. Sa mère a accepté de surpasser les préjugés alpha,  bêta et oméga… Il ne considérait plus l'opinion de Robert Lightwood comme une réflexion à  approfondir,  il ne niait pas leur lien de parenté,  mais hors de question que son mari et leurs enfants pâtissent de l’état d'esprit de l’alpha.  Le courant de la société s'adaptait au grès des changements humains,  bons ou mauvais toute interaction continue au développement des mœurs. L'une des précieuses apprise auprès de l’eurasien figurait la nécessité d'ouvrir ses horizons,  se forger son propre avis. 

 

 

« Alec,  montre moi ma nouvelle nièce ? Est-elle bien ? » Isabelle bombarde le frère aîné en souriant. 

 

« Elle va très bien Izzy. » Dit-il en riant de l’attitude de la styliste.

 

«  Comment se sent Magnus ? » Demande la rousse flamboyante,  l’épouse du meilleur ami et une amie proche. Il a connu par l’intermédiaire de Magnus. 

 

« Épuisé,  il recouvre ses forces maintenant. » Dit Alec. 

 

« On a entendu un Magnus vocal. » Dit le blond d'un sourire confiant,  sur de soi tel le caractère du charismatique avocat. 

 

« Jace ! » Dit-il en comprenant la légère touche moqueuse toujours amicale. 

 

« Je me souviens d'un blond à sa place,  la naissance d'Amelia m'a amusée. » Rétorque la brune en ignorant la perte momentanée d’argument,  Isabelle Lewis savait utiliser les munitions à bon escient. 

 

« Comment l’avez-vous appeler ? » Change le blond de sujet, il n'a pas envie de frotter le côté effrayant de madame Lewis.  

 

« Raya Lauren Lightwood. » Répond Alec en baisant le front,  la mini Magnus pensait-il. 

 

« Puis-je Alec ? » Demande Clarissa. 

 

« Tu peux Clary,  acceptes-tu de devenir la marraine ? » Dit Alec. 

 

« Tu es sûr ? » Dit Clary surprise. 

 

« Magnus ne voit pas un meilleur guide,  moi non plus. » Dit Alec. 

 

« Je te remercie Alec, je m’appelle Clary. Je suis ta marraine,  à ma gauche ta tante Izzy et ma droite mon mari Jace,  le parrain de ton frère Lukas. » Dit-elle en croisant le regard émeraude,  plus profond que sa couleur verte.  

 

« Je vais t’enseigner l'art de l’habillement,  ma nièce connaitra les bases du bon goût.  Je te préserverai de la catastrophe vestimentaire qu'a été ton papa.  Le crois-tu ? Se contenter de favoriser les tons sombres, mais maman et tata ont résolus ce souci. » Dit-elle en écartant la protestation d'Alexander.    

 

« Ne commence pas Izzy ! » Gémit-il en ne voulant pas s'attarder à propos du goût  vestimentaire,  ces choses qu'il a dû  assimilé sous la persévérance d'un oméga réchauffant les draps conjugaux. Ils avaient une vie intime très appréciable. 

 

« Tu as dit quelque chose grand frère ? » Demande la captivante brune en affichant un visage innocent. 

 

« Je ramène les deux à la maison,  pourras-tu alléger le dose de travail de Magnus ? » Dit-il en détournant la discussion le sourcils levé,  Simon garde leurs filles chez eux.  Ce papa poule !  

 

« Tu peux compter dessus, va chercher mon beau-frère. Il veut certainement rentrer chez lui. » Dit-elle en dessinant un sourire agréable. » 

Nous attendons ici Alec,  je te repasse la petite merveille. » Dit Jace en passant prudemment la fille du meilleur ami, il faisait partie de la famille affective.

 

« On revient à papa,  tu me reconnais Raya. Oui maman nous manque sûrement. » Dit-il en se fichant de la moquerie habituelle de Jace et Isabelle. 

 

Le trio ressort paisiblement de l’hôpital universitaire en compagnie de leur proche ni plus,  ni moins qu'une fin d’année prometteuse ; l’imposition de vacance,  la nomination de la marraine etc. L' essentiel était de se détendre. Un mois et demi de détente !