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    Chapitre 11 :

     

     

    Les emplettes tortueuses 

     

     

     

    Mois d'avril 2019,

     

    Boutique Bane Design, 

     

    Upper East Side,  Manhattan 

     

    Deux semaines plus tard… 

     

     

    Alexander rentrait dans la boutique de designer du bien aimé amant pour sa séance d’essayage,  devrait-il reformuler séance de torture puisque ses autres amis sont passés la semaine dernière. Lui et l'autre dirigeant d’entreprise évoluait le temps que leur moitié tombe d'accord sur un choix,  ce qui en connaissant ces deux là en complément de la sœur, il portera plus d'un seul sac suivi de nouveaux costumes ornant le dressing.  Il ne comprenait pas parfois la manie du designer à vouloir l’embellir mais,  il était éperdument amoureux du sorcier donc au nom de quatorze année de mariage réussit pensait-il.  Se soumettre à la demande du mari enceint de six mois ne lui causerai aucun souci,  ses filles Phoenix et Leilani ont absolument tenu a accompagné leur mère durant la journée,  Rafael passerait l’après-midi au centre culturel Fairchild avec ses autres frères et sœurs… Jace,  Daniel,  Bat,  Simon,  Nathan et Raphaël y seront. Ces instincts paternels lui disait de toujours connaitre l’emplacement de leurs descendants,  se rassurer qu’aucun n’avait rencontré un déboire. 

     

    Sa nature d’alpha se montrait au niveau de la protection et des soins qu'il prodigue à sa famille,  ses plus chères personnes ! L’amour de sa vie fut très gourmand hier soir,  il a tellement pénétré le jardin d'eden que l’asiatique a gémit maintes reprises son prénom. Il remerciait les dragons pour avoir trouvé un partenaire aussi incroyable et exigeant,  heureusement leur chambre est insonorisée par un sortilège de Magnus parce que ses gémissements atteignirent les recoins de la pièce. Il a retenu son pénis large,  épais et rocailleux autour de lui comme sa source de plaisir,  pur plaisir de l'amour du couple Lightwood !  Il punira l’oméga en conséquence de la torture à venir…  Il a récupéré le petit matin de l’excès de jouissance en son mari, juste assez pour tenir le coup et recommencer la chevauchée amoureuse,  l’idée le faisait sourire d'un Magnus détruit par ses intrusions. 

     

     

    « Tu as promis de coopérer mon chéri donc nous mettrons le temps nécessaire,  je te veux parfait le jour du mariage. » Dit Magnus d'une mine sérieuse. 

     

    « Je connais mon amour,  j'ai une tonne de costume pouvant convenir. » Dit Alexander.

     

    « C'est un mariage mon Alec,  je suis en train d’organiser le grand jour de Chandra et Nathan,  la famille mérite le meilleur n’est-ce pas Isabelle ? » S’adresse à sa belle-sœur en concordance sur la même longueur d’onde,  avec Tina ils se sont promit de donner un jour mémorable. 

     

    « Tous à fais Magnus,  nous ne voulons pas négliger un détail d’où cette ordre d’organisation. On a encore une semaine pour mettre en place la décoration,  le nombre d’invitation et d'autres points indispensables. » Confronte la draconienne déterminée a remplir son rôle d'organisatrice de mariage,  son frère ainé pouvait s’avérait un homme intelligent et attentif mais quelquefois,  il faut le secouer !

     

    « Nous passerons un merveilleux moments les filles, papa sera enchanté d'entendre vos opinions ainsi,  ne pas hésiter à le renvoyer en cabinet.  Mieux nous trouvons la tenue,  mieux nous pourrons passer au point suivant. » Dit la créatrice de mode toute aussi impliqué à rendre deux amis très heureux.  

     

    « Vous avez avancé les préparatifs ces deux précédentes semaines,  on s'est attendu à plus de discussion et concertation. » Dit le mexicain intérieurement ébahit par le trio. 

     

    « PAPA ! » Les filles disent à l'unisson, elles regardaient leur mère sélectionnait un assortiment  de costume comme l’indonésien à l'homme plus grand notant la hausse de la tringle roulante. 

     

    « Qui a-t-il mes filles ? » Questionne affectueusement le père amusé par la force de caractère,  de vrais Rosales se disait-il !

     

    « Va te changer maintenant,  maman a choisi de beaux vêtements. » Dit Estrella d'une ton similaire à sa mère. 

     

    « Et reviens vers nous pour obtenir nos avis. » Termine Paloma d'une attitude rappelant sa femme,  elles tenaient le savant mélange de leur caractéristique respectifs.   

     

    Monsieur Rosales fit frapper par la foudre,  non seulement ses filles de bientôt trois ans montraient de la poigne. Elle ne se laisserait marcher dessus par quiconque, la fierté paternelle grimpait en flèche. Elle grandissait si vite lorsqu’il repense à la première contemplation de minois adorables,  il se jura de rendre ses trésors forts et indépendants.  Il se conforme en tirant la tringle roulante au sein de le cabinet,  le groupe se trouvait au showroom.  L'alliance Lightwood-Rosales concrétise une collaboration de travail et amicale au beau fixe, Cristina a rejoint l'équipe créative de Bane Design. Ils formaient d'ores et déjà une famille,  le mariage renforçait l’unité établie. 

     

     

    « Toi aussi sayang va essayer ses tenues,  j'ai présélectionné une ligne simple et confortable avec une touche d’élégance.  Si l’ensemble valorise ce superbe corps,  soit sur de porter plus d'un sac. »  Exprime le sorcier extatique,  le draconien l'aimait au-delà de raisonner droit. Marié,  épanoui dans tout les sens du terme tant sexuellement et émotionnellement saturé.   

     

    « Tu es en retard Max. » Réprimande le petit-frère d’un sourire d’excuse, il avait une bonne raison à sa décharge.  

     

    Il est passé par la libraire afin d'acheter des livres de droit dans pour sa troisième année,  il travaillait pour réussir et pouvoir se détendre au côté de sa petite amie. Il a adopté une vie de jeune marié en entendant sa femme dans un avenir proche lui rappeler de mettre son linge à la panière de la salle de bain. On réalise qu'on aime une femme à  n'importe quel moment,  le cadet des Lightwood l'avait comprit en se rapprochant à l’Université,  le contact paraissait naturel malgré son rougissement quand il a demandé qu'elle devienne sa petite amie.  Elle a trouvée sa maladresse mignonne et l’embarras encore plus,  elle le taquinait gentiment à ce sujet. 

     

     

    « Nous étions à la libraire Izzy,  je n’étais pas loin. » Se défendit-il habituellement. 

     

    « Peu importe ta sélection attend près de ta cabinet. » Dit-elle d'une lueur taquine dans le regard,  elle voulait que son petit-frère soit beau.  La journaliste de mode a effectué une sélection de bon goût,  la ligne moderne et élégante soulignée exprès.  

     

    « SÉRIEUSEMENT IZZY ! » Crie un futur avocat exaspéré par la quantité de vêtements accrochés. 

     

    « Tu as trois heures pour tout essayer,  je précise TOUT les costumes pour qu'on se fasse une idée,  VOUS AUSSI LES GARS ! » Crie t-elle au compagnon d’essayage faisant plaisir à leur amour. 

     

    « ON A COMPRIT IZZY ! » Lâche une partie de frustration l’ainé de la fratrie,  sa sœur rallonge son supplice par taquinerie tandis qu'un rire amusé retentit. Magnus aura une punition lente,  longue et ferme. 

     

    « Ne te fâche pas chéri, elle te taquine hormis pour le temps. » Taquine-t-il d'un sourire complice,  beau-frère et belle-sœur se lasseront jamais d’embarrasser son beau mari.  Un géant mesurant un mètre quatre vingt dix,  la stature d'un dieu grec et un besoin avide de lui insatiable sous les draps.  Le meilleur amant qu'on puisse désirait de son point de vue. 

     

    « Il finit toujours par relâcher sa frustration quoiqu’il dise,  si ça n'arrive pas maintenant… J'en profite pleinement dans ses bras. Où en sont la décoration du loft ? » Demande t-il d'un ton sympathique. 

     

     « Rosa,  Clary et Mira se débrouillent très bien,  ne doutons pas de notre rouquine favorite pour un rendu artistique,  j'ai obtenu notre ami qui accepte d'officier la cérémonie. Les fleurs devraient arriver en début de semaine prochaine et nous devons acheter nos tenues. » Répond la belle-sœur d'un air décontracté. 

     

    « Je te montrerai les dernières tendances,  l’avantage de posséder ses propres boutiques et des relations en ce milieu.  Tu ne manque pas de choix. » Dit-il souriant à la brune reconnaissante. 

     

    Ils ont réussi à bâtir une vie prospère en gardant une certaine implication au niveau du monde obscur,  il s'en voulait un peu de la démission d'Alec à un poste qu'il gérait admirablement mais,  leur moment d’intimité se résumait à des instants précieux car la direction comporte les réunions,  faire la paperasse, diriger les chasseurs draconiens et garantir la liaison entre les communautés surnaturelles.  Benjamin Rosewain se débrouillait très bien,  père d'un fils de trois ans et l’époux d'une Nephilim…  Pas une draconienne comme le voudraient les esprits moins ouverts au changement,  on notait une hausse de sang-mêlé d’où la création de runes permettant une application saine aux porteurs d’ascendance démoniaque,  le biscuit rendait service aux métis et créatures obscures unis à un chasseur. Diego et Alexander sont à leur septième costume en l'espace de deux heures à poser devant le trio et les enfants,  le renvoie en cabinet vers un nouveau. Il pensait à l’amant submergé d’extase,  la torture qu'il donnera ! 

     

     

    « Oncle Alec est incroyable,  oncle Magnus ? » Demande Sophia Lewis. 

     

    « Il est parfait ma nièce,  tu as le coup d'œil. » Souriant magnifiquement à l'homme renvoyant le sien,  quel bonheur d’embrasser ce sourire tous les jours vint à l'esprit d'Alec. 

     

    « Diego porte le costume,  je savais qu'on trouverai la tenue parfaite. Qu'en dîtes-vous les filles ? » Interroge ses jumelles. 

     

    « Papa est génial ! » Félicite la jumelle aînée. 

     

    « Maman a un goût sûr,  j'adore papa. » Rit la cadette d'Estrella.

     

    « Nous prenons les essais précédents mamans, tu voulais acheter des costumes pour papa. » Dit Phoenix calmement. 

     

    « Bien-sûr nous allons,  ton père a obtenu des tenues décontractés le mois dernier et trois semaines plutôt des chemises et pantalons.  Il était temps de redorer sa garde-robe. » Dit Magnus exaspéré par l’obsession d'Alec envers le noir, ça constituait la teinte dominante des tenues du chasseur mais, à camoufler son corps sous des chiffons.  Magnus ne permettra pas que l’époux se néglige !

     

    « Tu n'oublie pas les achats au début du mois avec nos tantes Izzy,  Rosa et Clary. Benny a été embarrassé un peu comme papa,  Rafe a apprécié tes propositions. » Dit Leilani d'une façon similaire à sa maman,  bien que ce fut son second père.  Magnus a insisté pour que ses enfants l'appellent « mama » en ayant transporté quatre d'entre eux et éduquée sa personne a partir de trois mois,  il méritait le titre peu importe l’opinion de la société mondaine.  

     

    « Il a fait un drame notre frère à le sens de la mise en scène, maman a dut conclure un compromis équitable. » Réplique Phoenix. 

     

    « Oncle Magnus a concédé un passage au magasin de musique en contrepartie de porter et se laisser photographier. On a rit des sourires maladroits dont le rougissement au compliment de l'oncle. » Se remémore la fille adoptive de Simon et Isabelle Lewis. 

     

    « Oui mon Esteban nie sa tendance pour le drame comme un certain mari. » Feint-il la voix exaspérée en répondant aux filles. 

     

    « MAGNUS ! » Gémit le mari en comprenant le sous entendu de la phrase,  il persiste à contredire la pensée de Magnus,  il n'est pas dramatique. 

     

    « Qu’est-ce que je disais,  même votre oncle Rapha ne le reconnaitra pas.  Nous prenons la  sélection entière. » Feint une voix imperturbable le démoniste amusé. 

     

    Pourquoi la course au magasin demeurait une douleur ? Premier point,  la proportion de sac augmente au fur et à mesure des coups de cœur,  second point il portait les fameux achats et troisième on ne pouvait pas remettre en question le duo en matière de mode.  Il continuait le mantra mental. 

     

     

    « Ils manquent les chaussures Magnus,  j'ai sélectionné une dizaine de paire chacun. » Isabelle se réjouit innocemment du visage d'Alec. 

     

    « Et moi quelques accessoires qui feront merveilles,  un costume sans accessoire est monotone.  Cela se résume à une broche de costume et bouton de manchettes. c'est important. » Magnus démontre une lueur se joignant au sourire malicieux. 

     

    « C'est dur de définir le bon accessoire,  nous savons combien la faute de gout est aléatoire,  maintenant que nous connaissons les costumes,  chaussures et broche ne prendront pas plus d'une heure. » La mexicaine se joint à l’embarras et le supplice de deux en particulier. 

     

    « Mi amore… » Débute le draconien mexicain  vainement.

     

    « Hatiku… » S'enquit le draconien new-yorkais perdant ses mots. 

     

    « Pas de mais les gars, une heure n'est pas grand-chose. » Interrompt la pluie d’argument Isabelle, le trio masculin s’assoient sur le canapé du showroom en attendant patiemment. 

     

    « Tu a contrarié notre sœur et mon beau-frère Alec. » Commente le frère cadet,  il a prit l'indice au timbre changeant de la voix.  Il aura apprit a déceler les signes anodins en observant autrui. 

     

    « Comment aurais-je ? » S'interroge le chef cuisinier,  il ne voyait vraiment pas. 

     

    « Tu aurais pu contenir ta frustration,  ni Diego,  ni moi aimons ses séances. Je te rappelle que ma petite amie n'attend un enfant. »  Dit Max en pointant l’évidence,  un transporteur oméga ou une femme enceinte deviennent sensibles au petit détail. 

     

    La lecture à la bibliothèque de l’Institut le préparait à affronter la grossesse,  si Éva porte leur enfant un jour…  Il pense sérieusement à ses prospectives d'avenir. Rejoindrait-il le cabinet d'avocats familial ? Ces relations avec ses parents se réparent progressivement,  frère et sœur arborent la main prudente en octroyant un nouveau départ. 

     

     

    « Il traverse le troisième semestre,  il m'a épuisé jusqu’au petit matin. Je connais mon mari et ses phases hormonales très intenses en fin de grossesse. » Dit Alexander en se souciant plus du regard des gens,  sa vie sexuelle le comble au-dessus de toute prétention.  Il n'a plus a se restreindre,  ni se conformer au devoir d'un héritier Lightwood.  

     

    « Et tu as reçu un ajout ce matin,  Tina m'a donné le mien. » Dit le mexicain en se rappelant de la beauté de sa femme faisant l'amour,  une femme passionnée et créative. 

     

    « Ouais je l'ai savouré avant le réveil des enfants. Je m’étonne de l’énergie débordante de Magnus. » Poursuit la conversation entre mari,  deux bons amis par l’intermédiaire de leur moitié indispensable.  

     

    « Tu mérite ce bonheur Alec,  savoure le chaque jour car un beau-frère comme celui-ci. Tu n'en rencontre pas n’importe tout. » Dit le frère se souvenant de l’ainé forcé de répondre aux attentes parentales,  mettre sa personne au second plan afin de veiller sur sa sœur et lui en l’absence de parents accaparés par le travail,  le nom et le prestige du patrimoine familiale.  Il était un homme heureux,  ils ressentaient le contentement du chasseur draconien.  

     

    « Merci Max. » Le draconien savourait les liens filiales,  l’entente avec ses frères et sœurs équivaut à l’attachement envers sa famille,  soin et protection en diverse circonstances.  Il saura toujours un pilier aux siens. 

     

    « De rien, tu m’as laissé le loft de Williamsburg pour y vivre. Je me passerai du discours du grand-frère,  j'ai vingt et un ans dans cinq mois. » Dit-il d'un sourire effronté,  la confiance en soi de Jace,  l’effronterie d'Isabelle et l’intelligence d'Alec. Ce gamin réunit le mélange d'un cocktail détonnant. 

     

    « Tu reste mon petit-frère Max. »  Dit Alec d'un ton ludique en se montrant amusé de l'audace,  le sarcasme du jeune draconien de la famille Lightwood égale celui d'Alec et Isabelle. Il ne coupera pas aux conseils du frère aîné ! 

     

    Ont-ils exprimé la douleur de prendre la pose ? Essayer les combinaisons de broches aux costumes et déterminer la bonne chaussure… Il ne ferait pas pour une simple raison,  la joie qu'ils perçoivent sur leurs visages à partager une activité avec eux, le duo marié soupçonnait une taquinerie intentionnelle dont ils nient le dessein. Alexander Gideon Lightwood savait suffisamment son bel Asiatique capable d'en tirer un amusément, le couple se taquinait au quotidien. Il s’étonne quand même du lieu profond tissé entre eux,  il saisissait ses moments d’incertitudes,  remises en question autant que l’attachement l'un envers l'autre,  l’âme-sœur. Ce mariage le transforma de la meilleure façon possible en essayant sa huitième paire de chaussures, huitième broche de cravate. Izzy lui revaudra cette journée !

     

     

    « On le tient Mags,  l'assortiment est sublime. » Dit Isabelle souriant largement,  les autres semblent s'accorder à l’observation de haut en bas. Il retint le rougissement de l’intensité des yeux bruns foncé chauds. 

     

    « Je suis d’accord Izzy,  merveilleux nous ajoutons les accessoires à nos achats. Je ne vais laisser de telles paires. » Sourit d’approbation l’oméga frottant l’abdomen sous le glamour,  le bébé devenait très actif à l’intonation de voix familières,  celle des enfants et ses parents la majeure du temps. 

     

    « Tu as un sens exquis cher beau-frère,  profitons en pour remplir nos produits de maquillages. J'ai vu ce rouge à lèvre rouge passion de chanel. »

     

    « Tu inclut la palette de vernis de dior et leurs eye liners. » Continu de bon train Magnus,  il avait trop de paillette à l'opinion personnel d'Alec,  une coiffeuse rempli de produit de beauté.  Là encore, on accepte les bizarreries du conjoint. 

     

    « Le parfum de Victoria Secret’s est a tomber d’après la clientèle, je suis certaine d'obtenir un flacon. » Dit Tina d'une voix excitée. 

     

    « Je vais jeter un œil au gloss, j'ai aperçu des crèmes à l'essence de fleur.  Je comptais m'acheter un lot. Je suis contente Max. » Se joint à l’excitation d'un démoniste,  un sang-mêlé nephilim et une draconienne… Rajoutons la petite amie de Max à l’équation,  nous obtenons le bouquet. 

     

    « Rhabillez-vous les gars,  le port de sac vous attend. Il faut que je te montre les bagues et colliers de cette boutique Mags. » Dit Isabelle en parlant à un Magnus extatique,  bague et collier composait son style.  

     

    La seule présence féminine de la fratrie commanda aux hommes de se changer et porter leurs sacs, le ton rappela la ressemblance à une femme que sa sœur ne préfère pas mentionner ou devrait-il préciser observe l’évolution du comportement de Maryse Lightwood. Belle-sœur et beau-frère veulent réellement croire un soudain revers de conscience mais,  ils ont besoin de preuve de bonne foi et guérison par rapport au mot énoncer contre eux.  Comment pouvait-il blâmer leur réserve lorsque lui-même apprend a recomposer la dynamique familiale avec les grands-parents de leur enfants.  

     

     

    « Nous nous y rendons de suite,  je vous achèterais un bracelet mes princesses. » S’exclame Magnus. 

     

    « Merci maman ! » Disent ses filles d’Alec de six et cinq ans. 

     

    « Mes perles auront un bijou de cheveu assortie. » Sourit-elle de bonne humeur. 

     

    « NOUS T'ADORONS MAMAN ! » Crie suite les jumelles Rosales. 

     

    « Tu pourras choisir un parfum de ton choix Sophia,  papa ne dira rien. » Isabelle parle à sa fille aînée agissant d'un mélange d'Isabelle et Lydia,  la marraine. 

     

    « Comme si papa ose te confronter là-dessus. » Dit-elle d'une allure confiante, Magnus influence sa confiance en soi à l’instar de sa mère adoptive. Lydia cultive sa force de caractère,  sa volonté de femme battante. 

     

    « Il n'ose pas ma chérie. » Cite la brune en accord à son aîné,  les hommes rejoignent le niveau de l’entrée. 

     

    Étant la boutique de Magnus Lightwood, la boutique offre les achats donc une somme conséquence ne tombera pas sur les bras de mari et petit ami bougonnant mentalement en enchainant magasin suivant et ensuite se rendre au centre culturel. Il libéra sa pleine frustration et convoitise de l'homme selon ses plans, leurs gémissements retentirent au sein de la chambre maritale ce soir également,  la mélodie favorite d'Alexander était l’appellation du prénom de l'amant au travers du soupir suave et haletant. Il aura compris la leçon,  enfin il recommence malgré ses rappels. Il a épousé un incorrigible pêcheur !

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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